Un jour, j’étais seul chez moi. Soudain, quelqu’un s’est introduit dans la maison par effraction. Il a trouvé mon lapin, l’a tué sans pitié, puis l’a mangé sur place, comme un prédateur sauvage. Le bruit de ses mâchoires déchirant la chair me glaçait le sang.
Ensuite, il s’est approché de moi avec un couteau ensanglanté. Il a appuyé la lame froide contre mon visage. Mon cœur battait à tout rompre. Je ne savais pas quoi faire. À côté de moi, il y avait une bouteille de champagne. Dans un ultime sursaut de courage, je l’ai saisie et l’ai frappé violemment à la tête.Il a vacillé, et j’en ai profité pour m’enfuir. Mais à ma grande horreur, il s’est relevé beaucoup trop rapidement, comme si la douleur ne l’affectait pas. Ses yeux semblaient emplis de rage et de folie. Il s’est mis à me poursuivre, ses pas résonnant dans toute la maison.
Alors que je courais désespérément, j’ai trébuché et suis tombé. En un instant, il était sur moi. Il a levé son couteau et m’a frappé dans le dos. La douleur était insupportable. J’ai senti mon sang couler, chaud et poisseux. Je croyais que c’était la fin, mais il n’en avait pas fini avec moi.Il m’a craché dessus, hurlant des mots incompréhensibles. Puis, avec une force brutale, il m’a frappé à nouveau. Je me souviens d’avoir vu le plafond vaciller, et tout est devenu noir. Je m’étais évanoui.
Quand je me suis réveillé, j’étais couvert de sang et de cicatrices, seul dans un silence terrifiant. II était parti, mais l’horreur de cette nuit me hante encore aujourd’hui. Ces cicatrices sur mon corps ne sont rien comparées à celles qu’il a laissées dans mon esprit.
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