Journal d’une Géhenne

Pour commencer il faut un cadre, et ici le cadre c’est ma famille composée…mais surtout décomposée. Une mère, que l’on appelera Carmen ; un papa que l’on appelera Dymitri ; moi même fils unique Angarad et pour finir un beau père, Donald.

Carmen et Dymitri se sont rencontrés 11 ans avant ma naissance et ont traversé bien des problèmes personnels et professionnels, puis ont fini par se stabiliser, se marier et c’est ainsi que je suis arrié. A vrais dire, même aujourd’huis je ne connais pas de détails precis sur leur vie avant ma venue au monde. C’est lord d’un mois hivernal que je vois le jours dans une famille sous tension. Des accusations de tromperies flottes dans l’air au sein du couple et de toute la famille. Carmen accuse Dymitri de découcher et d’aller voir ailleur. Dymitri, lui, accuse Carmen de faire venir des hommes quand il est au travail au lieu de s’occuper de leur nourrisson…moi même. Une fois de plus, même en me renseignant auprès de leur amis, je n’ai jamais su qui disais vrais, et après réflection, quand on connait la personnalité de chacun il ne serait pas impensable que leur coucherie ne soient que des speculation de leur part ouet un gros quiproco. Quoi qu’il en soit, les faits sont là… Moi, petit enfant arrivant dans ce monde, agé de à peine 10 mois de vie, vois mes deux parents se déchirer. A peine entrain de me développer que je dois m’addapter entre les changements constant de maison, les changements constant des nouveaux partenaires de mes parents, les changements d’écoles, de crèche, de…famille d’acceuil. Pour autant je suis un enfant qui d’après les dire se développe très bien mentalement, bien que physiquement les problème commence.

CHAPITRE 1 : Un guerre de corps

J’ai 2ans, mais je ne pèse que 9kg pour 80cm, alors que la moyenne se situe autour des 12kg pour 85 cm. Je suis un petit gabarit ? Non. La peau sur les os, des bleus partout sur le corps, des griffures infectées et des problèmes de propreté, voilà ce que j’ai lu sur un rapport faire par une nourrisse qui a fait un rapport au juge des enfants. Arriver devant le juge, Carmen a donner sa plus belle représentation théâtrale pour essayer de se justifier. Effectivement, c’est elle qui avait eu ma garde complète, tandis que mon papa ne me voyais que les weekend tout les 15 jours…en soit très peux, trop peut… Elle fut accusée de négligence, mais remporta quand même le procès car…mon papa fit une erreur, une seule qui lui en coutera. Étant négligé, ce qui arriva ,arriva, en revenant chez lui, il découvrit que j’avais des poux. Sa seule erreur fut de me couper les cheveux bien trop emmelés pour être traités. En me récuperant, Carmen prit des photos, sans même chercher à comprendre, et contacta le juge sans lui donner le contexe : ” Regardez ! C’est lui qui maltraite notre enfant ! Comment je pourrais supporter encore cette situation ! J’enchaine deux travails, de journée et de nuit, et quand je récupère mon fils, il est mutilé “

Vous vous doutez, que si j’écrit ici, c’est que ce n’est que le début des mensonges…

Toutes ma petite enfance j’ai été plus petit, plus chetif, plus maigre, fatigué, et renfermé que les autres enfants. Ce qui a poussé à aller consulter plusieurs psychologues de la petite enfance qui ont tous été formel : ” Votre fils n’a aucun problème, il est même plus développer que les autres mentalement. Le seul problème est son manque de sommeil”. Des médicaments m’ont été prescrit ce jourslà pour me faire dormir. Elle s’est empresser de m’en donner la dose, pour que je lui fiche la paix. Car non, je n’avais pas de problème notable, si ce n’est être tellement nerveux a l’idée de me faire corriger, que je ne dormais pas, mais surtout que dès que j’avais la possibilité d’un peut de liberté j’était tellement hyperactif que ça épuisais Carmen. Alors quand elle a vu que après une visite elle avait obtenue des somnifères, elle a pris rdv chez un autre psychologue, qui celui ci décréta que j’était hyper-actif, et il préscrit des calmants d’humeur. Fatal erreur. Mal dosé, je me suis retrouvé en létargie, et pas que une fois… Mais comme ça, je lui fichais la paix.

C’est vers mes 3ans que Donald rentre dans mon histoire, de ce que on m’a dit, car l’histoire diverge une fois de plus suivant la personnes questionnée. Donald est un homme sans enfant pationné d’informatioque et de méchanique. Son arrivée marque le début de l’horreur…

Voilà pour la première partie, ce n’est que l’introduction pour introduire le cadre de vie si on peut dire. Je répète et insiste dessus, mais tout ce que j’écrit là est réel, rien de cela n’est fictif si ce n’est les noms que j’ai changer pour des raison évidentes. Je suis currieur de vos avis, alors n’hesitez pas