Je vis avec ma mère dans une toute petite ville du sud de la France, notre maison est assez excentré et tout autour se trouve des champs, des routes de terres entre quelques oliviers. Pendant cette période, ma mère travailler énormément et quand elle rentré, c’étais soit tard soit extenué. Je me sentais très seule, seule chez moi, seule au lycée et perdus dans ma tète, face a moi même toute la journée … ma vie devenais pesante… bref c’étais une portion un peu sombre de ma vie.
Ce soir la, ma mère été rentrée, fatiguée et énervée. On a même pas échanger un mot .. je n’étais pas sortie de chez moi depuis deux ou trois jours et sans vraiment savoir pourquoi, j’ai vers 18h enfiler mes chaussures, pris ma veste ( on été en novembre je crois) et suis sortie marché sans rien dire. il faisais froid et sur le moment je ne pensais a rien. tout en continuant a marché les yeux dans le vague, j’ai allumer une cigarette et me suis diriger vers le chemin sur ma droite. au bout de ce chemin il y avais un moulin, toujours immobile et en toile de fond il y avais le Canigou auréolé du soleil couchant. Je fais quelques pas et m’arrête, savourant ma cigarette et observant le paysage. le dernier rayon de soleil disparus alors.
“c’est le crépuscule” dis-je a voix haute sans vraiment m’en rendre compte. Un oiseau doré passa alors, rendant la scène vivante. Une bise légère venais de se lever et un frisson me traversa le corps de la tête au pied. tirant une troisième fois sur ma cigarette, je grelotai. puis je me figea. des bras été autours de moi. des bras chauds, des bras gluants. j’étais figée, tétanisé. je ne savais plus respirer; je ne pouvais que pensé a ses bras … et au moulin en face de moi… au fond j’avais envi de me fondre dans cette étreinte. de rester entre ces bras pour toujours …
Je ne sais pas combien de temps je suis rester comme ca .. je sais juste que je suis sortie de ce choque a cause de la douleur de mon mégot me brulant les doigts. j’ai tout de suite reculer, mais j’étais incapable de détourné mes yeux du moulin .. tournant ses pales avec lenteur.
Prise de panique , je me suis retourner dans l’idée de courir le plus vite possible cher moi, mais lorsque je me suis retourner, un oiseau doré été éventrer sur le gravier.
submitted by /u/Gaby_absolut
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